Malgré la désastreuse expédition de il y a une semaine, je proposai mon nom pour retourner à l'aventure. J'ai fait réparer mon armure de mailles, qui était bien amochée et je me suis fais fabriquer un nouveau bouclier par Rillius, le forgeron et membre de la guilde. Je craint de perdre le bouclier de mon grand-père dans l'estomac d'un autre gigantesque monstruosité qui parcourt les terres sauvage. Je part enfin avec mon ami et mentor Brokal, le mage de feu qui m'aida a développer mes pouvoirs. Puis il y a maître Anchar, un membre bien connu dans la guilde. C'est d'ailleurs lui, accompagner de Brokal et Wallace qui m'ont retrouver frigorifier dans la neige. Nous parton aussi avec Alberterin, un être charmant et fort utile en aventure. Se joint aussi a nous à la dernière minute Mailliw, un lanceur de sort... sorts qui me sont bizarrement familière. Après une courte réunion avec maître Merrick, Anchar désirais rencontrer Hélèna Ortillie du collège du Savoir, à propos de sa théorie sur les monolithes. Théorie forte intéressante qui a mon humble avis devrait être creusé plus profondément. Après avoir rencontrer des créatures qui ne devrait même pas marcher sur la terre des vivants, je craint qu'il ai raison.
Nous sommes donc parti en direction de la tour noir pour démarrer notre périple. Nous avons du camper en chemin pour éviter d'épuiser nos nouveaux chevaux. Le campement allais bon train, la température était clémente, même la discussion autour du feux de camp m'avait fais oublier le danger des terres sauvages. D'ailleurs se cher Alberterin avait plusieurs tour dans son sac, il nous créa un dôme de protection, qui nous gardait au chaud et confortable. Puis les brumes ce lève. Est-ce encore ces satané brume maléfique? A notre tour de garde, Brokal et moi avons eu une bonne discussion sur la nature de la magie. Je lui avoue que ma magie avait changer, elle est maintenant plus intuitive, moins épuisante. Malgré les ondes sonore corporel de Alberterin durant son sommeil, j'entendis des bruit a l'extérieur. Les chevaux semblaient s'agiter de plus en plus. Brokal lui n'as rien entendu, probablement trop occupé avec sa pipe et à terminer sa dernière bière. Je réveille les autres en silence. J'entend des grondements, beaucoup de grondements, surement des grosse bêtes. Brokal, avec sa vision nocturne, fini par voir les bêtes; des gros chien noir, émanant le mal, une flame abyssale dans les yeux et dans leurs gueules. Nous aurions pus rester à l'abri camouflé dans la bulle magique, mais cela aurais voulu dire abandonner nos chevaux à une attroce mort. Il n'en était pas question. Le combat fût dure et bestiale. Je tombai inconscient deux fois, mais grâce a mes compagnons je survécu. Nous avons réussi par miracle a sauver les chevaux qui furent blesser par les chiens de l'enfer.
Les brumes ne veulent pas s'estompée, restant épaisse et menaçante, nous continuons notre progression en restant alerte. Nous nous rendons à un pont que nous étions supposé traversé, mais malheureusement il n'était pas du tout en bonne condition. On décide de longé le fleuve en espérant trouver un endroit pour peut-être traverser mais le courant est trop fort et le fleuve refuse de se laisser gelé par l'hiver. Nous arrivons enfin au pied de la montagne, le paysage majestueux est très impressionnant. Nous sommes arrivés face à une grande chute d'eau, sortant littéralement du flanc de la montagne. Après une courte délibération on décide de s'approché de la chute pour l'investiguer. Nous remarquons une caverne derrière celle-ci, difficilement atteignable. Mailliw envoi son familier Etienne a travers la chute pour atteindre la caverne. Malheureusement il n'a pas survécu a se qui se trouvait a l'intérieur. Sur ce nous décidons de retourner en Nouvelle-audarque faire notre rapport a Merrick. Par chance les brumes nous permirent de rentrer sans nouvelles rencontres.